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在清言上使用

Validation de critères diagnostiques dans les neuronopathies sensitives

Revue Neurologique(2013)

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摘要
Les plaies représentent un problème de santé publique important. Les tutelles et sociétés savantes ont publié plusieurs recommandations, tant sur les modalités de nettoyage des plaies que sur le choix des pansements. La loi autorise actuellement les infirmiers à prescrire des soins de plaies avec l’accord du médecin. Aussi leur rôle est-il essentiel dans la prise en charge des plaies. L’objectif de ce travail était d’évaluer le comportement des infirmiers dans le nettoyage des plaies en ville et à l’hôpital.Un audit sur le nettoyage des plaies a été réalisé du 01/04/11 au 06/06/11, auprès de 111 infirmiers exerçant à l’hôpital d’Argenteuil et de 299 infirmiers libéraux des départements des Hauts-de-Seine (92) et du Val-d’Oise (95). Le questionnaire comportait des items relatifs à l’utilisation d’antiseptiques lors du nettoyage de différents types de plaies, avec ou sans signes d’infection clinique, et avec ou sans prescription médicale.Cent quatre-vingt-onze réponses ont été obtenues – 111 (100 %) à l’hôpital et 80 (27 %) en ville (femmes : 88 %, âge moyen : 36 ans). Le nombre moyen de plaies prises en charge par semaine était de 18 (0-135). En l’absence de prescription, les antiseptiques étaient utilisés par moins de 35 % des infirmiers pour les plaies chroniques et les brûlures. Ces chiffres étaient supérieurs à 50 % pour les plaies opératoires et les plaies traumatiques. Lorsque, pour un nettoyage de plaie, de l’eau ou du sérum physiologique étaient prescrits, ces chiffres diminuaient sensiblement. À l’inverse, si un antiseptique était prescrit, plus de 50 % des infirmiers utilisaient cet antiseptique. En cas de désaccord avec la prescription, plus de 60 % des infirmiers hospitaliers en parlaient avec le médecin prescripteur contre moins de 40 % des infirmiers libéraux. Si des signes de surinfection étaient constatés, plus de 85 % des infirmiers, avec ou sans prescription médicale utilisaient des antiseptiques et, en cas de désaccord, plus de 90 % contactaient le médecin, à l’hôpital ou en ville. L’alternative à l’antiseptique était le sérum physiologique pour 60 à 80 % des infirmiers, l’eau stérile ou du robinet pour moins de 45 %.Les antiseptiques sont utilisés dans des situations où ils ne sont plus recommandés (plaies chroniques, opératoires, surinfectées), alors qu’ils le sont peu pour les brûlures où ils sont recommandés à la phase aiguë. Cela est vrai avec ou sans prescription médicale. Les attitudes ne sont pas équivalentes en ville et à l’hôpital quant au nettoyage des plaies. Les prescriptions ne sont pas toujours suivies en pratique et la prescription d’antiseptiques semble plus souvent respectée que celle d’eau ou de sérum physiologique. Le recours au médecin prescripteur est plus fréquent à l’hôpital qu’en ville.Wound management constitutes an important public health issue. Health authorities have published numerous recommendations on wound cleansing and dressing. The French law currently authorizes nurses to prescribe wound care with a doctor's agreement. Further, they have an essential role in wound management. In this study, we evaluate nurses’ behavior in wound cleansing in outpatients and in hospital settings.The survey was conducted from 4/1/11 to 5/6/11 in 111 nurses working at Argenteuil Hospital and in 299 nurses with outpatient activity within two administrative departments (Hauts-de-Seines and Val-d’Oise) in the suburbs of Paris, France. The questionnaire included items relating to the use of antiseptics during cleansing of various types of wounds, with or without signs of super-infection, and with or without medical prescription. The results were compared with French references.One hundred and ninety-one answers were obtained: 111 (100%) from the hospital and 80 (27%) from nurses with outpatient activity (women: 88%, mean age = 36 years). The mean number of wounds seen per week was 18 (0–135). In the absence of a prescription, antiseptics were used by less than 35% of the nurses for chronic wounds and burns but by more than 50% for operative and traumatic wounds. When water or physiological serum was prescribed for wound cleansing, these figures were slightly lower. Conversely, if an antiseptic was prescribed, more than 50% of the nurses used antiseptics. Where nurses disagreed with the medical prescription, more than 60% of the hospital nurses discussed this with the doctor, compared to less than 40% of private nurses. In the event of signs of super-infection, more than 85% of the nurses used antiseptics, with or without medical prescription, and in the case of disagreement, more than 90% called the doctor, whether working in a hospital setting or among outpatients. The alternative to an antiseptic was physiological saline for 60 to 80% of the nurses, with sterile water or tap water being used by less than 45%.Antiseptics continue to be used in situations in which they are no longer recommended (e.g. chronic wounds, operative wounds, super-infected wounds) whereas they are used very little for burns, where they are in fact recommended during the acute phase. This is true both with and without medical prescription. Prescriptions are not always followed in practice and prescriptions of antiseptics are more often respected than prescriptions of water or physiological saline solution. Discussion with the prescribing doctor is more frequent among hospital nurses than among private nurses.
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Neuronopathie sensitive,Électroneuromyogramme,Neuropathie sensitive
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